Protection du travailleur isolé
Lorsque l’opération est exécutée de nuit ou dans un lieu isolé, le chef de l’entreprise concerné doit prendre les mesures nécessaires pour qu’aucun salarié ne travaille isolément en un point où il ne pourrait être secouru à bref délai en cas d’accident.
C’est pour répondre à ce besoin que SE3I inclut dans son offre une gamme d’appareils destinés à garantir la protection du travailleur isolé (P.T.I) destinés à :
- Prévenir la perte de verticalité
- Détecter l’absence de mouvements
- Signaler la perte de liaison en cas d’agression
- Déclencher des alarmes en cas d’incidents
- Grâce à ce dispositif le travailleur est en permanence relié à un PC central.
La particularité de cette protection est nécessaire et obligatoire en milieu d’industrie lourde, d’exploitation de carrières, mines et travaux souterrains.
Cette assistance à personne isolée peut s’illustrer suivant trois cas de figure :
- Une alarme volontaire :
L’utilisateur déclenche lui-même l’alarme en appuyant sur un bouton dédié du portatif. - La perte de liaison:
C’est la sécurité positive. L’émetteur-récepteur envoie à intervalles réguliers une interrogation au portatif. Le portatif répond de manière automatique. La liaison entre les deux est donc testée régulièrement.
Lorsque le portatif ne répond pas (destruction, panne, agression), après 5 essais infructueux, l’alarme se déclenche.
L’ensemble du système est sécurisé grâce à cette alarme. Tous les points vitaux du système (liaison GPS, réseau de réception (serveurs), liaison GSM/GPRS, matériel radio) sont constamment vérifiés et testées selon des cycles réguliers. - La perte de verticalité :
L’utilisateur porte son portatif, verticalement, accroché à sa ceinture. Lorsque le portatif se retrouve en position horizontale, l’alarme se déclenche (malaise, accident…). Le temps d’inertie est programmable ainsi que la pré-alarme qui signifiera le futur déclenchement à l’utilisateur. Le temps d’inertie et la pré-alarme disposent d’une temporisation programmable (de 2 à 256 secondes). Ce temps varie suivant l’activité même du salarié à protéger (un manutentionnaire qui doit se baisser pour vérifier une machine par exemple).
Existe aussi en version absence de mouvement.